Capucine Maillard débute toute jeune enfant aux côtés du metteur en scène Jean-Louis Gonfalone et de la comédienne Anne Danaïs. Avec la compagnie du théâtre du Clin d’œil, elle jouera Dürrenmatt et Feydeau. Plus tard, son rôle de la mère dans le « Malentendu » de Camus, lui vaut une nomination aux Petits Molières. En 2006, elle quitte la scène et la France pour quelques années, au cours desquelles elle écrit « Femmes de cœur et d’épices » avec un collectif de femmes immigrées (Bestseller 2010, Suisse).
Diplômée des Cours Florent en 2013, puis de la Manufacture Chanson, elle écrit, met en scène et joue dans « La Mama Grande ». En 2015, elle crée « Quelque chose », mis en scène par Andréa Bescond (Molière et César pour la pièce et le film « les chatouilles »).
« Quelque chose » sera ensuite adapté en créole, à la Réunion et fera l’objet d’un vaste projet santé-culture, touchant plus de 2 000 adolescents et allant jusqu’en prison pour évoquer l’inceste et la libération de la parole.
En parallèle, Elle met en scène 3 spectacles musicaux avec les 60 chanteurs du chœur d’Arras DDI, et signe l’adaptation et la mise en scène de « La vie Parisienne » dans les Arènes de Montmartre. Depuis 2018, elle assiste le metteur en scène colombien Porras installé à Lausanne sur « Le conte des Contes » et « Carmen ». En parallèle, elle se forme au théâtre forum et développe cette méthode, les « LABS » utilisent tous les outils du théâtre pour répondre à divers problématiques sociaux, auprès de différents acteurs de la santé, et de l’éducation.